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L'erreur. En chemin vers la lumière

Roman initiatique, cet ouvrage nous entraîne à la suite de personnages aux tempéraments divers et bien trempés qui, tous, d’une façon ou d’une autre, sont en quête de ce qui donnera une véritable saveur à leur existence. Daniel, Cécile, Augustin, et les autres, ne pourront trouver leur équilibre qu’en élevant leur regard. Éloge des racines, du vrai, du beau, du bon et de la fidélité, ces pages veulent encourager le lecteur à ne jamais baisser les bras, à ne pas se déclarer vaincu par les faiblesses, les erreurs et les épreuves. La lumière met parfois beaucoup de temps à percer les ténèbres, mais elle finit toujours par l’emporter.

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Roman initiatique, cet ouvrage nous entraîne à la suite de personnages aux tempéraments divers et bien trempés qui, tous, d’une façon ou d’une autre, sont en quête de ce qui donnera une véritable saveur à leur existence. Daniel, Cécile, Augustin, et les autres, ne pourront trouver leur équilibre qu’en élevant leur regard. Éloge des racines, du vrai, du beau, du bon et de la fidélité, ces pages veulent encourager le lecteur à ne jamais baisser les bras, à ne pas se déclarer vaincu par les faiblesses, les erreurs et les épreuves. La lumière met parfois beaucoup de temps à percer les ténèbres, mais elle finit toujours par l’emporter.

“Au sein de cette profusion extraordinaire d’actions et de mouvements humains, ceux de l’esprit et ceux de la chair, brille en creux le diamant noir de la souffrance. Vous la nommerez angoisse ou autrement. Elle est là, tapie, patiente, tenace. Elle est prête à détruire ou à transfigurer. En soi, elle est neutre. Elle n’a de pouvoir et d’effets que selon ce qu’on lui accorde. Elle peut dévorer, elle peut pacifier. Elle plane au-dessus de nos péchés les plus sombres. Rien ne l’égale. Elle est terrifiante, elle est attirante. Elle éteint la lampe fragile et laisse seul dans le noir, dans le néant qui tinte à nos oreilles, obsédant. Ou bien, elle déchire le voile et transporte dans la lumière où elle s’efface à tout jamais. Par-delà sa profondeur, sa longueur, sa hauteur, se dessine un monde libéré de la servitude et de la crainte. Elle est un signal dans le brouillard, comme ces cornes, graves et inquiétantes, des paquebots naviguant prudemment, au hasard. Elle annonce la venue, l’avènement, l’apothéose. Sa voix est rauque. Lorsqu’elle se tait, un silence purifiant prend toute la place. Elle est une repoussante messagère, mais son message est pur. Elle n’est qu’un moment. La joie, seule, est finale.”

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