.
Histoire et actualité de la spiritualité chevaleresque
Puisant aux plus profondes racines des civilisations indo-européennes, grecque, romaine, celtique, et germanique, façonnée par le combat à cheval, le code d’honneur et le rite de l’adoubement, la chevalerie est à la fois une institution et un esprit.
Après un recul dans les mentalités l’idée de la chevalerie a retrouvé une certaine actualité après la Révolution Française. L’Église du troisième millénaire a sans doute intérêt à mettre cette institution et cet esprit au service de l’établissement de la civilisation de l’amour.
Puisant aux plus profondes racines des civilisations indo-européennes, grecque, romaine, celtique, et germanique, façonnée par le combat à cheval, le code d’honneur et le rite de l’adoubement, la chevalerie est à la fois une institution et un esprit. Elle a pu prendre des visages très divers au fil des époques et des civilisations où elle s’est élaborée puis développée, ce qui permet de dégager les traits essentiels de sa spiritualité qui a quelque chose d’universel. Identifié au Christ cavalier combattant la Bête de l’Apocalypse, et surtout au Christ mourant sur la croix, le chevalier chrétien suivant son code ressemble à un religieux suivant les conseils évangéliques.
Après un recul dans les mentalités depuis la fin du Moyen-Âge jusqu’à l’époque classique, l’idée de la chevalerie a retrouvé une certaine actualité après la Révolution Française. Comme en l’An Mil, l’Église du troisième millénaire a sans doute intérêt à mettre cette institution et cet esprit au service de l’établissement de la civilisation de l’amour.
Préface Henri Roure