Avec une clairvoyance sans égale, un esprit critique nourri seulement de vérité, Louis Salleron donna une chronique sur les travaux de l'Eglise à un grand hebdomadaire parisien. Témoin, il l'a été avec une étonnante perspicacité. Il étudie les textes et constate les conclusions qu'on peut en tirer.
Le sujet est grave mais cet ouvrage ne manque ni d'humour ni d'une douce ironie. L'auteur prévient. Il serait regrettable d'inquiéter trop tard, et quand on voit sa mère malade ou bafouée, on ne la griffe pas davantage.
On l'aime comme elle est, mais on souhaite sa guérison. C'est I'état d'esprit de Louis Salleron, auteur d'une intelligence remarquable, qui ne veut pas ajouter de la peine à la peine.
Aussi traite-t-il des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l'hérésie ou au dégoût de la religion. Il le fait avec tact, force, perspicacité et charité. Il aborde de front la toute puissance des bureaux, la dégradation de la loi dans l'Eglise, l'équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l'abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation de l'Eglise, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, le mariage des prêtres, etc.
Cinquante ans après l'introduction du nouveau rite de la messe, dit aujourd'hui ordinaire, cet ouvrage, écrit d'une belle plume, n'a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d'une accalmie dans les réformes, l'Eglise est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu'ils soient de l'extérieur ou de l'intérieur. Cet ouvrage est une contribution remarquable à l'histoire de la liturgie et de l'Eglise.
Professeur honoraire d'économie politique à l'Institut catholique de Paris, auteur de nombreux ouvrages, dont La nouvelle messe, (NEL), Louis Salleron, économiste, philosophe, humaniste, poète à ses heures, a résisté avec foi, persévérance et clairvoyance, aux désordres qui ont meurtri tant d'âmes, souhaitant les garder dans la clarté de la science, de la foi, et dans le droit chemin.
Bien connu de nos lecteurs pour sa collaboration à la revue Itinéraires, Louis Salleron (1905-1992) a été un des grands pionniers de la restauration post-conciliaire. De 1968 à 1974, il va tenir des chroniques sur cette période troublée et troublante, et son analyse percutante mérite toute notre attention.
D'une lucidité étonnante ! .----. Publiés à titre posthume par sa famille, ces textes de Louis Salleron (1905-1992) ont été écrits entre 1968 et 1974. On y trouvera traités, à 50 ans de distance, et avec une lucidité étonnante, des thèmes d’une grande actualité, comme le mariage des prêtres, le synode et la collégialité, l’œcuménisme, etc., ce qui donne à l’ouvrage un intérêt tout particulier. Nous reproduisons, avec l’aimable autorisation de Monsieur J. Dhaussy, la présentation de l’ouvrage en quatrième de couverture.
Avec une clairvoyance sans égale, un esprit critique nourri seulement de vérité, Louis Salleron donna une chronique sur les travaux de l’Église à un grand hebdomadaire parisien. Témoin, il l’a été avec une étonnante perspicacité. Il étudie les textes et constate les conclusions qu’on peut en tirer.
Le sujet est grave, mais cet ouvrage ne manque pas d’humour ni d’une douce ironie. L’auteur prévient. Il serait regrettable d’inquiéter trop tard et quand on voit sa mère malade ou bafouée, on ne la griffe pas davantage. On l’aime comme elle est, mais on souhaite sa guérison. C’est l’état d’esprit de Louis Salleron, auteur d’une intelligence remarquable, qui ne veut pas ajouter de la peine à la peine.
Aussi traite-t-il des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l’hérésie ou au dégoût de la religion ; il le fait avec tact, force, perspicacité et charité. Il aborde de front la toute puissance des bureaux, la dégradation de la loi dans l’Église, l’équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l’abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation de l’Église, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, le mariage des prêtres, etc.
Cinquante ans après l’introduction du nouveau rite de la messe, dit aujourd’hui "ordinaire", cet ouvrage, écrit d’une belle plume, n’a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d’une accalmie dans les réformes, l’Église est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu’ils soient de l’extérieur ou de l’intérieur. Cet ouvrage est une contribution remarquable à l’histoire de la liturgie et de l’Église.
Y. T. dans AFS N° 268 Avril 2020 www.afs.ovh/action-familiale-et-scolaire/
Action Familiale et Scolaire - 07/05/2020
- ISBN : 9782856524237
- Titre : La nouvelle messe, cinquante ans après - Chronique de l´après-Concile
- Auteur : SALLERON (Louis)
- Editeur : DMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
- Nb Pages : 426
- Présentation : Broché
- Epaisseur : 10
- Largeur : 150
- Hauteur : 225
- Poids : 0.58Kg